Des crois gamées sur une mosqué à Castre!

 

Pas de réaction de nos gouvernants!!!

Ou est le président? Qui à réagit parmis les élus???

 

IMPORTANT!

Vidéo témoignage...
Vidéo témoignage...

Le 3 juillet dernier la LIBRAIRIE RESISTANCES à été encore une fois la proie de quelques extrémistes...

 

La France, Pays de Droits doit absolument s'offusquer de la même façon qu'elle le fait face aux agréssions des groupuscules néo-nazis!

 

Quelle place cette information à dans les médias à ce jour???

Communiqué

La librairie Résistances saccagée par un commando de la LDJ

Communiqué de la Librairie Résistances [qui avait accueilli la première conférence de presse du CODEDO en octobre 2008].
Un commando d'une demi-douzaine d'individus, la plupart masqués, déclarant ouvertement appartenir à la Ligue de Défense Juive a attaqué le 3 juillet après-midi la librairie Résistances (4 villa Compoint 75017 Paris). Deux femmes travaillant à la librairie étaient présentes, ainsi que deux ou trois clients. Après les avoir bousculés, les nervis se sont attaqués avec frénésie à l’établissement, arrosant d’huile plusieurs milliers d’ouvrages et détruisant les ordinateurs, avant de prendre la fuite à bord d’une automobile. L’attaque de vendredi est intervenue au lendemain d’une conférence, donnée à la librairie par Mahmoud Suleiman, du village palestinien d’Al-Masara, sur le thème des actions de résistance non violente à l’occupation israélienne.
La Librairie Résistances, qui propose, notamment, de nombreux livres sur la Palestine et sur Israël, a été attaquée et menacée à de nombreuses reprises par les fascistes sionistes. Mais alors que les agissements de cette bande sont archi-connus de la police, le pouvoir politique a jusqu’à présent systématiquement manifesté sa sollicitude à leur égard.
La Librairie Résistances ne se laissera pas pour sa part intimider par de tels voyous.
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Un projet de loi israélien contre le retour et les biens des réfugiés et déplacés palestiniens

10 juillet 2009  - Ittijah - HRA

Le projet de loi tente faire disparaître les fondements des revendications actuelles et à venir du retour dans leur patrie et de la garantie de leurs droits fonciers des réfugiés palestiniens, ainsi que des déplacés à l’intérieur d’Israël.
position de HRA et Ittijah


Ittijah et l’Association arabe pour les droits humains :

« Le projet de loi va à l’encontre du droit international et des valeurs universelles ».

Mohammad Zeidan - Directeur général HRA

 

A Mr Ofir Akonis, député,
Président de la Commission économique de la Knesset

Cher Monsieur

Objet : réforme envisagée de l’Administration foncière d’Israël.

Ittijah, l’union des ONG arabes, et l’Association arabe pour les droits humains exposent ci-dessous leur position à propos de la réforme envisagée de l’Administration foncière d’Israël, telle que publiée dans la Section 18 du projet de loi, 5770, p. 57.

Introduction

1 - L’Administration foncière d’Israël (ILA) contrôle 93% de l’ensemble du territoire de l’Etat d’Israël. Conformément à Loi foncière d’Israël, ILA gère les terres de l’Etat, les terres de l’Autorité de développement, et celles du Fonds national juif.

2 - Ce n’est pas un secret que, avant la création de l’Etat, la communauté juive en Palestine possédait 6% du territoire historique de la Palestine. Conséquence de la création de l’Etat et suite à toute une série de lois votées, les propriétés des réfugiés palestiniens ont été confisquées et transférées au Gardien des Biens des Absents. En outre, les terres qui avaient été affectées aux communautés arabes ont été données à l’Etat et à l’Autorité de développement, sans compter des saisies en grand nombre de propriétés privées et publiques. Le résultat net fut l’appauvrissement du statut économique des Palestiniens restés sur le territoire devenu l’Etat d’Israël.

Tous ces développements se sont associés pour produire une situation à nulle autre pareille dans le monde, une situation où un Etat, l’Etat d’Israël, jouit d’un contrôle absolu sur les ressources économiques les plus importantes - la terre -, maîtrisant effectivement 93% du territoire de l’Etat.

3 - A ce jour, l’Etat s’est montré peu pressé de coloniser la terre dans le Néguev, adoptant la démarche, « le temps joue son rôle ». L’Etat nuit profondément au droit d’existence des habitants arabes du Néguev et pratique une politique de démolitions de maisons et de déracinements des communautés.

Par contre, l’Etat a promulgué différentes lois établissant des conditions éliminatoires qui excluent l’enregistrement de biens fonciers dans le Néguev par des Bédouins - lesquels sont pourtant les propriétaires de ces terres du Néguev depuis les temps anciens - et ce, dans le but de contrôler ce territoire.

4 - La population arabe au sein de l’Etat d’Israël a souffert, et continue de souffrir, d’une politique de discrimination dans la distribution des ressources de la terre. Jusqu’au milieu des années 1990, l’Administration foncière d’Israël n’a procédé qu’à deux affectations de terrains pour des projets de constructions arabes (dans les années 60), l’un à Nazareth et l’autre à Um al-Fahm. Depuis 2000, l’ILA a mis en vente des terrains dans plusieurs communautés arabes. Mais dans la plupart des cas, les populations en difficulté n’ont pu utiliser leur droit à l’acquisition des parcelles disponibles pour la construction en raison de leur coût élevé.

5 - En outre, l’approche qui prévaut chez les décideurs de l’ILA se fonde toujours sur une politique de « rachat de la terre ». Cette « rédemption » vise à s’emparer de la terre de ceux qui l’ont « envahie » - les Arabes (qui en sont en réalité les propriétaires) - au profit des juifs afin de réaliser et de mettre en œuvre l’esprit national juif.

6 - Le projet de loi tente faire disparaître les fondements des revendications actuelles et à venir du retour dans leur patrie et de la garantie de leurs droits fonciers des réfugiés palestiniens, ainsi que des déplacés à l’intérieur d’Israël (habitants et citoyens israéliens) qui sont environ au nombre d’un quart de million. Le projet de loi ôte de façon effective toute possibilité au conflit dans la région de connaître une solution juste.

Comme indiqué ci-dessus et alors que 60 ans sont passés depuis la création d’Israël, la question de la propriété foncière n’a pas encore été résolue au niveau politique. Des particuliers et des organisations dans le peuple palestinien - tant des réfugiés que des habitants d’Israël - revendiquent toujours leur droit de propriété dans le pays que vous avez appelé « terre d’Israël ».

7 - Il n’est pas superflu de noter qu’en vertu du droit international, le transfert de la propriété des biens des réfugiés à l’Etat et/ou à ses autorités et/ou à des tiers pour leur compte, qu’un tel transfert est considéré comme illégal étant donné que ces terres ont été acquises par l’Etat et ses autorités en 1948, après la Nakba, et cette question relève donc des règles internationales de la guerre et des principes du droit humanitaire international.

8 - ILA continue de commercialiser la terre qu’il gère au moyen de baux permanents, pour les cas de terrains destinés à la construction et/ou au commerce et à l’industrie. Les périodes de locations s’étendent de 49 à 99 ans.

D’après le projet de loi, la propriété du territoire urbain, comprenant les terres auparavant contrôlées par le Gardien des Biens des Absents, sera transférée. Ce transfert signifie que l’Etat sera coupé des propriétés résiduelles à venir, droit qu’il détenait en vertu des contrats jusqu’à ce point. Le transfert de la propriété de la terre des absents palestiniens implique clairement la réfutation totale et définitive des droits de propriété des réfugiés palestiniens sur ces propriétés.

9 - Nous attirons votre attention sur le fait que, comme indiqué ci-dessus, cette mesure est contraire au droit humanitaire et aux textes juridiques internationaux. Cette mesure contrevient totalement aux dispositions de l’Article 147 de la Quatrième Convention de Genève, lequel stipule que l’appropriation de propriétés dans les zones occupées constitue une violation de ladite Convention.

«  Article 147. - Les infractions graves visées à l’article précédent sont celles qui comportent l’un ou l’autre des actes suivants, s’ils sont commis contre des personnes ou des biens protégés par la Convention : [...] la prise d’otages, la destruction et l’appropriation de biens non justifiées par des nécessités militaires et exécutées sur une grande échelle de façon illicite et arbitraire.  »

(Convention (IV) de Genève relative à la protection des personnes civiles en temps de guerre, 12 août 1949)

A cours du procès de Nuremberg, au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, il fut maintes fois établi que l’expropriation des propriétaires de leur terre après la fin de la guerre constituait une violation de la Convention de Genève et de la Convention de La Haye de 1907.

10 - Le droit international intègre d’innombrables législations et règlements relatifs à l’obligation qui incombe aux différents Etats européens de restituer les propriétés des juifs acquises durant et après la guerre. Nous entendons fréquemment parler de règlements et de législations d’Europe qui reconnaissent le droit des juifs qui ont vécu en Europe à la restitution de leurs biens que d’autres se sont appropriés durant et après la guerre.

11 - L’honnêteté intellectuelle veut que l’on reconnaisse qu’un Etat qui est la conséquence directe de la Deuxième Guerre mondiale et de ses terribles résultats, exige une attention égale aux propriétés des réfugiés palestiniens.

Nous pensons que l’Etat agirait avec sagesse et aiderait à créer la confiance avec ses citoyens arabes s’il leur rendait leurs terres qui leur ont été prises et s’il permettait le retour des réfugiés nationaux dans leurs communautés et sur leurs terres.

De plus, et avant qu’il ne soit trop tard, nous vous demandons instamment de ne procéder à aucune modification substantielle des statuts de propriété des réfugiés palestiniens. Nous proposons que, pour l’instant, aucun changement ne soit apporté aux statuts des biens des Palestiniens tant que le conflit israélo-palestinien ne connaîtra pas une solution juste et définitive.

Bien à vous,

Hussein Abu Hussein
Président d’Ittijah,
Haïfa

Salim Wakim
Président de l’Association arabe pour les droits humains
Nazareth

10 juillet 2009 - HRA et publié sur AIC - traduction : JPP



 

L'association d'al Qods : 20 tunnels sous al Aqsa pour instaurer une ville touristique sioniste
[ 11/07/2009 - 11:00 ]
Al Qods occupée- CPI

Le directeur exécutif de l'association internationale d'Al Qods, Ziyad al-Hassan a révélé que l'occupation israélienne a instauré 20 tunnels sous les fondations d'Al Aqsa dans une tentative pour accomplir la création d'une ville touristique juive et modifier l'aspect total historique et islamique de la ville sainte d'Al Qods et sa mosquée sacrée d'Al Aqsa.

"Plusieurs activités de construction se poursuivent, quotidiennement, pour la création d'une ville juive, destinée au tourisme international, sous et autours de la mosquée sainte d'Al Aqsa, dans le but de convaincre l'opinion publique et internationale de l'aspect archéologique juif de cette ville sainte, et surtout pour instaurer le prétendu temple juif, en confisquant la région de Selwan et privant les habitants palestiniens de leurs droits légaux", a protesté al Hassan, le jeudi 9/7, contre les violations de l'occupation sioniste lors d'un entretien exclusive avec la chaîne "le Monde".

En condamnant plusieurs entreprises internationales de leurs complicités avec les sionistes, dans les violations contre de la mosquée sainte d'al Aqsa, le leader palestinien a alerté contre les crimes sauvages des autorités de l'occupation, tout en appelant à des mesures et actions sérieuses et immédiates pour sauver la mosquée sainte d'al Aqsa et protéger les palestiniens d'al Qods.

http://www.palestine-info.cc/fr/default.aspx




 

 

Témoignage fort d’une sénatrice US emprisonnée en « Israël »
Free Gaza Org  

11/07/2009  
 
Cynthia McKinney,  ex- membre du Congrès américain, candidate présidentielle pour le Parti des Verts a été six fois à la Chambre des Représentants, de 1993 à 2003 et de 2005 à 2007.
 
Elle a été arrêtée et kidnappée puis emmenée de force en « Israël » alors qu’elle tentait d’apporter de l’aide humanitaire et des matériaux de reconstruction à Gaza, le 30 juin. Depuis sa cellule, Cynthia McKinney a écrit une lettre, adressée « à celles et à ceux qui se battent pour une Palestine libre, et aux femmes » qu’elle rencontrée à Ramle selon ses termes.

En voici quelques extraits :
 
« Je suis Cynthia McKinney et je parle depuis ma cellule, dans une prison israélienne à Ramle. [Je fait partie] des 21 activistes des droits humains du Free Gaza Movement incarcérés actuellement pour avoir essayé de transporter de l’aide médicale, des matériaux de reconstruction - et même des crayons pour enfants ; j’avais une valise remplie de crayons pour les enfants. Pendant notre traversée, en route pour Gaza, les israéliens ont menacé de tirer sur notre bateau, mais nous n’avons pas fait demi-tour. Les Israéliens ont arraisonné le bateau et nous ont détenus parce que nous voulions offrir des crayons aux enfants de Gaza. Nous sommes détenus et nous voulons que les citoyens du monde sachent comment on nous a traités parce que nous voulions livrer de l’aide humanitaire au peuple de Gaza.
 
Au début de l’opération israélienne, intitulée « Plomb Durci » [en décembre 2008], je suis montée à bord d’un bateau du Free Gaza Movement, avec un jour de préavis, et j’ai essayé, en tant que représentante des États-Unis dans une délégation multinationale, de livrer 3 tonnes d’aide médicale à Gaza déjà assiégée et ravagée.
 
Pendant "Opération Plomb Durci", des avions F-16, fournis par les États-Unis, ont lâché leurs feux infernaux sur un peuple pris au piège. Le nettoyage ethnique s’est transformé en un génocide généralisé, purement et simplement. Du phosphore blanc, de l’uranium appauvri, de la technologie robotique, des munitions DIME et des armes à sous-munitions, fournis par les États-Unis - des nouvelles armes provoquant des blessures encore jamais traités par les médecins jordaniens et norvégiens. Les médecins, qui étaient présents à Gaza pendant le massacre israélien, m’ont dit plus tard que Gaza était devenue le vrai laboratoire d’Israël pour tester ses armes, les personnes étant utilisées comme cobayes pour tester et améliorer l’efficacité du taux de mortalité de ses armes.
 
Grâce à Al Jazeera, diffusée en arabe et en anglais, et à Press TV, diffusée en anglais, le monde a pu voir la violence méprisable d’Israël. J’ai vu ces transmissions, jours et nuits en direct, non pas aux États-Unis mais au Liban où ma première tentative pour rentrer à Gaza s’était terminée car les militaires israéliens avaient éperonné, dans les eaux internationales, le bateau à bord duquel j’étais... C’est un miracle si je suis ici pour écrire sur ma deuxième rencontre avec les militaires israéliens, une autre mission humanitaire avortée par les militaires israéliens.
 
Les autorités israéliennes ont essayé de nous faire confesser que nous avions commis un crime. Je suis maintenant connue comme la prisonnière d’Israël numéro 88794. Comment puis-je être en prison pour avoir rassembler des crayons pour les enfants ?
 
Le sionisme est sûrement arrivé au terme de sa légitimité si ceci est sa réponse aux personnes croyant tellement profondément dans les droits humains pour tous qu’ils mettent leur propre vie en jeu pour les enfants de quelqu’un d’autre. Israël est l’expression du sionisme à son summum, mais si Israël a peur pour sa sécurité car des enfants de Gaza ont des crayons, alors non seulement Israël a perdu son dernier lambeau de légitimité mais Israël doit aussi être déclarée un Etat défaillant.
 
Je risque d’être déportée par un Etat qui m’a amenée ici sous la menace des armes après avoir réquisitionné notre bateau. J’ai été amenée en Israël contre mon gré. Je suis retenue dans une prison car j’avais un rêve, celui que les enfants de Gaza puissent colorier et peindre, que les blessures de Gaza puissent être soignées et que les maisons bombardées de Gaza puissent être reconstruites.
 
(…) La vérité est qu’Israël a menti au monde. Israël a menti aux familles de ces jeunes femmes. Israël a menti aux femmes elles-mêmes qui maintenant sont prises au piège dans le centre de détention de Ramle. Et qu’allons nous faire ? Une de mes compagnes de cellule a pleuré aujourd’hui. Elle est ici depuis 6 mois. En tant qu’Américaine, pleurer avec elles n’est pas assez. La politique des États-Unis doit être améliorée et alors que le président Obama donne 12.8 milliards de dollars aux élites financières des États-Unis, il devrait être clair que l’espoir, le changement et le "oui, nous pouvons" furent de très fortes images de dignité et d’accomplissement de soi, individuellement et nationalement en lesquelles, de partout, les personnes assiégées ont réellement crues.
 
C’était une campagne de publicité rondement menée, habilement vendue au monde et aux électeurs américains, tout comme la publicité d’Israël le fût au monde. Nous nous sommes tous fait avoir, mais plus tragiquement, ces jeunes femmes.
   
(…) Je demande au département d’État des États-Unis d’inclure la situation désespérée des réfugiés certifiés par le HCR et détenus dans le rapport sur Israël lors de son rapport annuel sur les droits humains. Je demande, une fois encore, au président Obama d’aller à Gaza : dépêchez votre envoyé spécial, Georges Mitchell, là-bas pour qu’il rencontre le Hamas en tant que parti élu par les palestiniens ».

Pour écouter l’enregistrement original (en anglais) : http://freegaza.org/it/home/56-news...
 

http://www.almanar.com.lb/NewsSite/NewsDetails.aspx?id=94203&language=fr